[Em6]Vivre, ça peut sembler facile,
au premier imbécile
qui n’se pose pas trop d’ques[B7]tions,
qui n’a pour ambition
que d’n’pas trop mal s’en sor[Em6]tir.
[Em6]Moi, je n’peux pas m’empêcher
d’toujours m’interroger,
de chercher la p’tit’ [B7]bête,
d’tourner comme une girouette,
de vouloir réa[Em6]gir.
Refrain
[G]Mais quand j’me noie dans tes yeux
tout r’devient merveilleux,
je n’ai plus d’inquié[D]tude,
je sens ta mansuétude,
mon â-me qui s’a[Em6]paise,
mon feu qui devient braise
avant que d’être [B7]cendres
que tu disperses au [Em6]vent.
[G]Car j’ai tellement foi en toi,
que j’accepte tes lois,
pour régler ma con[D]duite
sans connaître la suite,
c’qui va nous arri[Em6]ver
de malheurs ou d’bienfaits
sur ta carte du [B7]Tendre
je m’avance con[Em6]fiant.
[Em6]Survivre, ça peut sembler facile,
suffirait d’suivre le fil,
d’aller chaque jour au char[B7]bon,
d’en tirer quelques marrons
’fin si t’es pas au chô[Em6]mage.
[Em6]Sinon, t’restes tes yeux pour pleurer,
s’t'as des gosses à él’ver,
bouff’ront pas tous les [B7]jours,
ça n’s’ra pas du velours
mais on n’est qu’de pa[Em6]ssage !
Au refrain