[A]Sous le brouillard gris de no[E]vem[E7]bre,
la vie ronronne en noir et [A]blanc.[Asus]
Tout semble comme couvert de [D]cendres,
la [E]lumière tremble dans le jour nites[A]cent.
Refrain
Et l’amour hi[E]ber[E7]ne
pelotonné dans nos senti[A]ments.[Asus]
[A]La tendresse, en [E]ber[E7]ne,
ne s’éveillera plus qu’au prin[A]temps.
[A]Sous nos pas craquent les feuilles [E]mor[E7]tes,
chapitres griffonnés de l’é[A]té[Asus]
qu’on abandonne au pas de la [D]porte
jau[E]nis, détrempés, piéti[A]nés.
Au refrain
Puisque l’amour hi[E]ber[E7]ne
pelotonné dans nos senti[A]ments.[Asus]
[A]La tendresse, en [E]ber[E7]ne,
ne s’éveillera plus qu’au prin[A]temps.
[A]L’humeur bien aigrie, voire mo[E]ro[E7]se,
l’esprit chagrin,désa[A]bu[Asus]sé,
hésitent entre poésie et [D]prose
et [E]n’savent plus trop quoi racon[A]ter.
Au refrain
Car l'amour hi[E]ber[E7]ne
pelotonné dans nos senti[A]ments.[Asus]
[A]La tendresse, en [E]ber[E7]ne,
ne s’éveillera plus qu’au prin[A]temps.
[A]La déception s’allie au re[E]mords,[E7]
on se reproche mille re[A]nie[Asus]ments.
C’est un peu de l’ombre de la [D]mort
qui en [E]nous s’insinue lente[A]ment.