[Dm]
Un jour il faudra que je [C]parte
que je m’exile loin de la [F]foule.
Ne m’cherchez pas sur une [G]carte
j’irai où me poussera la [A]houle.
[Dm]Qu’de mon destin rien ne m’é[C]carte
si je n’veux pas finir ma[F]boule.
J’emporterai pour tout ba[G]gage
juste l’écho de vos “au re[A]voir”
[Dm]et dans mes yeux, comme un mi[C]rage,
son sourire au fond du mi[F]roir.
Ce n’sera pas juste un vo[G]yage
mais un adieu, un éxu[A]toire.
Refrain
[Dm]Vous n’pouvez pas com[Bb]pren[C]dre,
vous n’la connaissez [Dm]pas.
Mais elle est, à tout [G]prendre,
encore mieux que ce[A]la.
[Dm]Me voir dans son re[Bb]gard[C],
et mon nom dans sa [Dm]voix
c’est, à bien des é[G]gards,
le paradis en [A]soi.
[A7]
[Dm]
C’est un tel bonheur qu’elle [C]m’aime
qu’au fond de moi je n’y puis [F]croire.
Et quand ensemble on se pro[G]mène
tous les oiseaux viennent pour la [A]voir.
[Dm]Elle rutile comme une si[C]rène,
un phare au lointain dans le [F]noir.
Elle me confie des mots si [G]tendres,
des secrets de polichi[A]nelle,
[Dm]mais qui sont si doux à en[C]tendre
quand ils bruissent à mon o[F]reille
et s’insinuent dans les mé[G]andres
de tous mes sens en é[A]veil.
Au refrain