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754 (26) - M’exiler (Glamour) janv. 2020

✍ & ♫ MoKo

Refuser d’aimer par peur de souffrir, c’est refuser de vivre par peur de mourir

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[Dm]
Un jour il faudra que je [C]parte
que je m’exile loin de la [F]foule.
Ne m’cherchez pas sur une [G]carte
j’irai où me poussera la [A]houle.

[Dm]Qu’de mon destin rien ne m’é[C]carte
si je n’veux pas finir ma[F]boule.
J’emporterai pour tout ba[G]gage
juste l’écho de vos “au re[A]voir”

[Dm]et dans mes yeux, comme un mi[C]rage,
son sourire au fond du mi[F]roir.
Ce n’sera pas juste un vo[G]yage
mais un adieu, un éxu[A]toire.

Refrain
[Dm]Vous n’pouvez pas com[Bb]pren[C]dre,
vous n’la connaissez [Dm]pas.
Mais elle est, à tout [G]prendre,
encore mieux que ce[A]la.

[Dm]Me voir dans son re[Bb]gard[C],
et mon nom dans sa [Dm]voix
c’est, à bien des é[G]gards,
le paradis en [A]soi.
[A7]

[Dm]
C’est un tel bonheur qu’elle [C]m’aime
qu’au fond de moi je n’y puis [F]croire.
Et quand ensemble on se pro[G]mène
tous les oiseaux viennent pour la [A]voir.

[Dm]Elle rutile comme une si[C]rène,
un phare au lointain dans le [F]noir.
Elle me confie des mots si [G]tendres,
des secrets de polichi[A]nelle,

[Dm]mais qui sont si doux à en[C]tendre
quand ils bruissent à mon o[F]reille
et s’insinuent dans les mé[G]andres
de tous mes sens en é[A]veil.

Au refrain

[Dm]
Aussi, tant par pru[C]dence,
que par lâche cobarde[F]rie
je n’ose croire que la [G]chance
ainsi toujours me sou[A]rie.

[Dm]Je redoute le jour fu[C]neste
où je me trouverai pri[F]
de son sourire cé[G]leste
de ses caresses do[A]rées.

[Dm]Je préfère donc m’en[C]fuir
avant de la pleu[F]rer.
Je crains trop de sou[G]ffrir
sans elle à mon cô[A]té.

Refrain
[Dm]Vous n’pouvez pas com[Bb]pren[C]dre,
vous n’la connaissez [Dm]pas.
Mais elle est, à tout [G]prendre,
encore mieux que ce[A]la.

[Dm]Me voir dans son re[Bb]gard[C],
et mon nom dans sa [Dm]voix
c'est, à bien des é[G]gards,
le paradis en [A]soi.
[A7]

[Dm]
il faut donc que je [C]parte
que j’m’exile loin de la [F]foule.
Ne m’cherchez pas sur une [G]carte
j'irai où me poussera la [A]houle.

[Dm]Qu’de mon destin rien ne m’é[C]carte
si je n’veux pas finir ma[F]boule.
J’emporterai pour tout ba[G]gage
juste l’écho de vos “au re[A]voir”

[Dm]et dans mes yeux, comme un mi[C]rage,
son sourire au fond du mi[F]roir.
Ce ne sera pas juste un vo[G]yage
mais un adieu, un éxu[A]toire.

Au refrain