[D]Qui s’ras-tu ?
D’où s’ras-[A]tu ?
Si tu sa[G]vais com[D]bien je [A]t’ai atten[D]due.
Si jolie,
épa[A]nouie,
dès ton pre[G]mier re[D]gard je [A]serai sé[D]duit.
[Bm]Seras-tu brune, blonde ou bien [F#]rousse,
ta peau s’ra-t’elle na[Bm]crée ?
Y-aura-t-il sur ta fri[F#]mousse
quelque blessure ca[Bm]chée ?
[D]Mais que m’importe ces dé[A]tails ?
je t’ai tellement rê[Bm]vée.
[D]Serais-tu un épouvan[A]tail
que je serais char[F#]mé.
[D]Viendras-tu,
déjà [A]nue,
pour réchau[G]ffer mon [D]vieux [A]corps per[D]clus
une nuit,
pleine d’en[A]vies,
tendre et [G]care[D]ssante, te gli[A]sser dans mon [D]lit ?
[Bm]La lune s’ra-t-elle blanche ou bien [F#]rousse
et le ciel étoi[Bm]lé ?
Y-aura-t-il dans la pénombre [F#]douce
quelque espoir subli[Bm]mé ?
[D]Au fond qu’importe ces dé[A]tails ?
J’en ai tellement rê[Bm]vé.
[D]Tout c’la ne s’rait qu’un feu de [A]paille
que j’en serais com[F#]blé.