[C]Je promèn’rai ma [F]chienne
flânant le [G7]long du ch’min des Plo[C]marc’h.
Et sous le ciel de [F]traîne
les maisons du Ros[G7]meur combleront mon re[C]gard.
Au r’tour sur le p’tit [F]port
j’saluerai les pê[G7]cheurs accrochés à leur [C]canne.
Ils m’diront si ça [F]mord,
mais je verrai [G7]bien s’ils ont la ba[C]nane.
Refrain
[C]J’habiterai [G]Douarne[Am]nez
ville qui pa[G7]resse au fond de sa [C]baie.
J’m’en vais la [G]réveill[C]er,
aux accents [G7]de mes petits cou[C]plets.
[C]Par le quai du Grand [F]Port
je retrouverai [G7]l’boulevard Jean Riche[C]pin
et encore un e[F]ffort
j’verrai l’île Tristan [G7]l’Port Rhu n’sera plus [C]loin
Sur la pointe du Fli[F]miou
les goélands en [G7]bande ’ront la [C]fête.
Ah les sacrés piou-[F]pious !
C’est c’que j’appelle [G7]gueuler à tue-[C]tête.
Au refrain
[C]Sur les quais du Port [F]Rhu
y-a tout un p’tit [G7]monde sympa et rus[C]tique.
J’observ’rai d’puis la [F]rue
leurs ate[G7]liers, leurs bois, leurs pra[C]tiques.