[Am]Quand j’étais un po[E]è[E7]te,
un homme de lu[Am]mière,
de vos douleurs mu-[E]et[E7]tes
faisais naître mes [Am]vers.
[C]Ils étaient lumi[G]neux,
telles les étoiles_au [Am]ciel,
[C]rendaient les gens_heu[G]reux,
d’un bonheur artifi[E]ciel.
Refrain
[F]Aujourd’hui mussée ma [C]muse,
[G]moi taiseux, inau[Am]dible.
[F]Quand une musique [C]fuse,
[G]jamais n’atteint sa [C]cible.
[F]Barde triste, infé[C]cond,
[G]à la magie sté[Am]rile,
[F]j’égrène mes chan[C]sons
[G]comme autant de ter[E]rils.
[E7]
[Am]Ils ont fait place [E]net[E7]te
des fêtes, des con[Am]certs.
Il n’y a plus de pro[E]phè[E7]tes,
faut être plus terre à [Am]terre.
[C]L’amour cède la [G]place
au sexe, au dé[Am]sir,
[C]et le plaisir rem[G]place
nos anciens éli[E]xirs.
Au refrain