Arpèges (“picking”)
[Am]Cet amour, comment [G]dire ?
Aux rives d'un sou[E]rire,
à [Am]ses bords je m'é[E]tends,
[E7]et la rime se [Am]crée,
et la tendresse est [E]née
[E7]de son enchante[Am]ment.
Accords battus
[Am]Cet amour, ce po[G]ème,
c’est la joie, c’est la [E]peine,
c’est [Am]la vie qui mur[E]mure
[E7]sur la gamme en som[Am]meil,
ou soudain se ré[E]veille,
[E7]piano sur l’a[Am]zur.
[Am]Cet amour c'est ma [G]source,
étoile sur ma [E]course,
un [Am]pas qui sonne [E]clair,
[E7]c’est un souffle, une [Am]voix
qui apaise mes é[E]mois,
[E7]c’est chaleur de la [Am]terre.
[Am]Cet amour étoi[G]lé,
le grand ciel de l'é[E]té,
paix [Am]de la nuit qui [E]vient,
[E7]un soleil qui s’ins[Am]crit
aux lambeaux las et [E]gris
[E7]que l’orage a é[Am]treints.
[Am]Cet amour c'est la [G]main
qui me mène à de[E]main,
et [Am]sculpte‘ un chant d’es[E]poir
[E7]dans les grands marbres [Am]froids
de mes vieux désar[E]rois,
[E7]carillon sur le [Am]soir.
[Am]Cet amour c'est si[G]lence
sur le temps qui s’é[E]lance
ou [Am]s’arrête, et s’é[E]tonne,
[E7]c’est le vers qui se [Am]fige,
horizon où vol[E]tigent
[E7]les litanies d’au[Am]tomne.
[Am]Cet amour c’est l’é[G]cume
qui naît du vent, des [E]brumes
et [Am]s’élance, puis re[E]flue,